Nos engagements

Le Réseau Ecoute Jeunes Finistère

Le PAEJ poursuit sa participation au sein du Réseau Ecoute Jeunes Finistère. Ce réseau est né en 2008 d’une volonté institutionnelle, visant à regrouper les acteurs finistériens de l’écoute jeunes dans un réseau partenarial, afin d’apporter des réponses complémentaires, les plus accessibles possibles aux jeunes de 12 à 25 ans et à leur entourage.

Ce réseau s’est constitué avec les acteurs de l’écoute jeunes existants, à savoir les Points Accueils Ecoutes Jeunes du Pays de Brest (2008), du Pays de Cornouaille (2007) et du Pays Centre Ouest Bretagne (2006), la Maison Des Adolescents de Brest (2008) et PASAJ (2006) avec un co-pilotage assuré par les financeurs publics départementaux de l’époque, le Conseil général et la Direction Départementale des Affaires Sanitaires et Sociales. Depuis, il a intégré le Point Accueil Ecoute Jeunes du Pays de Morlaix qui a vu le jour en 2011 et la Maison Des Adolescents de Cornouaille qui s’est ouverte en 2012. Au niveau du pilotage, le Conseil Départemental et la Direction Départementale de la Cohésion Sociale (DDCS) sont restés dans la dynamique et pour prendre en considération les préoccupations liées à la santé des jeunes, ce co-pilotage a été élargi à l’Agence Régionale de Santé (ARS).

La composition actuelle du Réseau Ecoutes Jeunes comprend donc 4 PAEJ, 2 MDA, PASAJ, avec un co-pilotage Conseil Départemental, DDCS et ARS. Le Conseil Régional est associé aux réflexions et des personnes ressources sont susceptibles d’être invitées à apporter un éclairage sur une thématique précise.
Après la finalisation d’une plaquette de communication, le travail de collaboration a été consacré à l’élaboration d’une charte constitutive. Cette dernière permet de préciser les objectifs et les modalités de fonctionnement du réseau mais également les engagements de ses membres.

2018 a permis de travailler autour de la mise en place d’un reporting départemental. Pour ce faire, le réseau a bénéficié d’un soutien de l’IREPS. Le souhait de travailler sur des indicateurs partagés est un dessein qui a été affiché dès la création du réseau, témoignant de la volonté des acteurs de travailler dans le sens d’une complémentarité, et d’une meilleure visibilité. Ce travail vise également à soutenir la visibilité des acteurs de l’Ecoute Jeunes auprès des décideurs de politique publique en faisant valoir leurs actions dans les territoires et en offrant une meilleure lisibilité de l’activité départementale portée par les acteurs du réseau.

La construction d’un outil partagé a mobilisé de concert la dynamique du réseau sur l’ensemble de l’année 2018, et s’est poursuivie par l’expérimentation de ce nouvel outil au sein de chaque organisation membre.

La Maison des Jeunes et des Adolescents des Côtes d’Armor

L’association est membre des instances du Groupement d’Intérêt Public « Maison des Jeunes et des Adolescents ». Elle participe à l’élaboration d’une offre d’accueil et d’écoute cohérente sur le département au travers de 3 axes prioritaires :

  • La gestion des situations complexes,
  • L’articulation des PAEJ / MDJA,
  • L’interconnaissance partenariale.

L’association participe à l’ensemble des instances : comités techniques, Assemblée Générale…
Par ailleurs, des groupes de travail associant les professionnels exerçant au sein des PAEJ du département et de la MDJA ont été mis en place pour élaborer des pratiques professionnelles cohérentes.

Une journée départementale, organisée à la fin de l’année 2019, a permis de consolider l’interconnaissance entre les différents professionnels et d’initier une réflexion commune. Pour ce faire, une intervention de Daniel Coum, psychologue clinicien et psychanalyste, maître de conférences associé en psychologie clinique et psychopathologie et directeur des services de l’association Parentel, a permis de soutenir la réflexion qui s’est poursuivie par les témoignages de représentants de l’ANPAEJ et de l’ANDMA.

Le réseau coopératif jeunesses de Lorient

Logo ville de LorientDe 2016 à 2020, plusieurs structures lorientaises intervenant dans le secteur jeunesse se sont engagées dans une recherche-action relative aux politiques jeunesses intégrées, coordonnée localement par la collectivité, le projet « Jeunes en TTTRANS ».

A l’issue de ce projet, la Ville de Lorient ainsi que les élus et les professionnels de quatre des structures engagées (Ligue de l’enseignement, Maison Pour Tous de Kervénanec, Mission Locale du Pays de Lorient, SeSAM Bretagne) ont souhaité maintenir la dynamique en place et poursuivre l’expérimentation, à travers la mise en place d’un Réseau coopératif jeunesses à l’échelle communale.

Les professionnels de ce groupe pilote, mandatés par leurs élus respectifs et accompagnés par une sociologue, ont travaillé collectivement à l’écriture d’un texte visant à proposer un cadre de coopération future aux professionnels de jeunesses du territoire de Lorient.

Ils ont également rédigé une charte de fonctionnement du Réseau coopératif jeunesses de Lorient.

Après une présentation du projet de coopération fin octobre à de nombreux partenaires du territoire œuvrant auprès des jeunesses lorientaises, une réunion de lancement du Réseau a permis fin novembre 2021 d’accueillir de nouveaux membres : Sauvegarde 56, Maison de quartier Bois du Château, Centre Social du Polygone, Centre social Escale Brizeux, Centre Social de Keryado, Protection Judiciaire de la Jeunesse, Bureau Information Jeunesse, Centre de Formation d’Apprentis, Foyer Jeunes Travailleurs.

Fort de ces 9 nouveaux membres, et dans le respect du cadre de référence construit par les membres fondateurs du Réseau, un véritable espace de travail collectif, animé par la Ville, s’engagera dès le début de 2022.

Pour sa première année de fonctionnement, le Réseau se fixe les objectifs suivants :

–          Améliorer l’interconnaissance, la coopération et la formation entre les professionnels et les structures intervenant dans le secteur de la jeunesse.

–          Créer des espaces de consultation et de participation des jeunes.

–          Valoriser les savoirs faires et les compétences des jeunes et des professionnels qui les accompagnent.

–          Identifier les thématiques et les problématiques jeunesses communes à décliner en actions co-construites.